Zoom sur... #1
~ Mathieu Gaborit ~
J'inaugure cette nouvelle catégorie qui se verra attribuer un nouvel article un dimanche sur deux ! (^-^) j'y présenterais soit un auteur qui me tient à coeur (comme aujourd'hui), soit un genre de littérature, ou encore un thème. Ce sera selon mes envies (c'est encore en construction dans mon esprit) mais aussi selon les vôtres, n'hésitez pas si vous avez une proposition à me faire, des conseils à me donner ou des précisions à apporter, j'y répondrais dans la mesure du possible.
Pourquoi Mathieu Gaborit ? Eh bien parce que c'est auteur de fantasy, genre littéraire que j'affectionne tout particulièrement, que j'ai découvert vers la fin de l'année dernière grâce à mon fiancé.
Petite biographie :
Nom : Gaborit |
Prénom : Mathieu |
Âge : 38 ans |
Avant d'être écrivain, Mathieu Gaborit est un rôliste. Après des études de droits, bien plus
que jouer, il a collaboré et écrit trois jeux de rôle :
- "Ecryme", publié en 1994 chez Tri Tel, qui nous plonge dans un univers steampunk où se dérouleront ses romans intitulés "Bohême". - "Agone", paru en 1999, qui fait suite aux "Chroniques des Crépusculaires". - "Abyme" publié en 2000 qui constitue un jeu à part entière mais aussi un supplément d'"Agone". Il a pris goût à l'écriture suite à sa collaboration avec le magazine Casus Belli, qui traitait des jeux de rôle bien sûr mais aussi des jeux sur internet et de la culture de l'imaginaire. S'en suit une bibliographie plutôt bien fournie et Mathieu Gaborit s'impose comme le chef de file des nouveaux auteurs de fantasy. |
Petite bibliographie que j'ai lu :
Pour commencer, un cycle que j'ai lu à la fin de l'année dernière, sur les conseils de mon fiancé et ça a été le déclic :
"Les Chroniques des Crépusculaires" (Mnemos, 2007)
Ce sont trois tomes : "Souffre Jour", "Les danseurs de Lorgol" et "Agone" qui retracent l'évolution de son héros, Agone donc, dans un univers emprunt de magie. Une petite merveille d'écriture, un univers fantasy original et un personnage très attachant. J'ai adoré ! (^-^)
Un peu plus, en début d'année 2010, j'ai découvert une autre de ses oeuvres, différentes, beaucoup plus dans de la High fantasy...
"La faille de
Kaïber " (Points, 2007)
J'ai moins aimé néanmoins, sa plume est là !
Et le troisième que j'ai lu, une très belle découverte écrite à 4 mains, en collaboration avec Fabrice COLIN,
"Les confessions d'un automate mangeur d'opium" (Le serpent à Plumes, 2003)
J'y ai découvert un univers steampunk très agréable dans un Paris à l'époque de l'Exposition Universelle. Des personnages très
sympathiques, un thriller original. J'ai beaucoup aimé ! =)
Petite bibliographie à découvrir :
Comme vous pouvez le constater, je suis loin, très loin d'avoir découvert toutes les oeuvres de Mathieu Gaborit mais je ne compte pas m'arrêter là....faisons un petit tour rapide de ce que je vais pouvoir lire...
"Le cycle Abyme" (Mnemos, 2007)
qui se déroule dans le même univers
que les Crépusculaires (PAL)
"Les Chroniques des Feals"
(Bragelonne),
une trilogie fantasy.
"Le cycle Bohême" (mnemos, 1997)
qui se déroule en Europe de l'Est et dont l'héroïne,
Louise Kechelev, est avocate-duelliste à Prague
et évolue dans un univers steampunk.
Le second tome du cycle des Ombres, qui fait suite à "La faille de Kaïber", "Les cendres de la colère" (Points, 2007)...que j'ai abandonné en cours de lecture... =$
Pour aller plus loin : Le site officiel "Souffre Jour".
J'y ai fait un petit tour, il est très joli et on y retrouve quelques interviews passionnantes de Mathieu Gaborit, des goodies autour de ses oeuvres ainsi que des informations sur les jeux de rôles. Par contre, il n'a plus l'air d'être mis à jour...
Dans le prochain "Zoom sur...", le dimanche 30 mai, je vous parlerais de la Bit-Lit, un genre littéraire qui fait fureur en ce moment...avant de partir en vacances ! ;)
(source : wikipedia, pochesf, le Souffre Jour...)
Au passage : petit bilan du début du mois...
- presque 6 livres lus
- pas encore de coup de coeur
- une première lecture commune faite le 15 mai avec "Coeur d'encre" de Cornelia Funke : un bon livre jeunesse mais je n'ai pas été complètement emballée